Jean-Philippe Bergeron montre dans États et abîmes comment s'établit déjà dans l'enfance la mesure du chaos. D'étranges relations entre le monde des cartes géographiques et celui de la vie psychique sont nouées, tissent dans le corps les représentations animées et inanimées des vies possibles et impossibles. Entre fantasmes primitifs et derniers, des points à relier apparaissent dans le langage.